Pourquoi une esthéticienne devrait-elle investir dans les nouvelles technologies ? C’est la question que nous avons posée aux principaux acteurs du marché. Daniel Frajdenrajch, directeur général de STARVAC group, délivre son analyse.
Daniel Frajdenrajch : « En 1970, mon père, kinésithérapeute et fondateur de Starvac group, a développé des technologies car il avait remarqué que le premier patient du lundi matin n’était pas traité de la même manière que le patient du vendredi soir. La raison ? La fatigue accumulée tout au long de la semaine. Souhaitant que tous ses patients reçoivent le même traitement, il a donc développé deux méthodes dédiées à la minceur, à l’anti-âge et au bien-être – la Pressodynamie® et le Stretching Cellulaire® – afin d’uniformiser la qualité du soin et de garantir une efficacité constante.
Se démarquer sur un marché concurrentiel
Le marché de la beauté est devenu très concurrentiel, les clients recherchent de la nouveauté et davantage de résultats. Les instituts doivent donc se démarquer et se diversifier pour marquer l’esprit de leur clientèle. Je rappellerai que si l’on n’évolue pas, on stagne, et si l’on stagne, on régresse. L’une des solutions de diversification est d’investir dans les nouvelles technologies d’appareils, à l’instar du Stretching Cellulaire® de Starvac, qui permet de proposer une typologie de soins innovants que la main ni aucun autre dispositif ne peut reproduire. Enfin, l’aspect financier est également une préoccupation tant pour les professionnelles de la beauté que pour les consommateurs. C’est d’autant plus vrai avec la période difficile que nous traversons. Chez Starvac, en proposant des appareils à des tarifs abordables, on ne parle plus d’investissement mais de rentabilité directe pour l’institut. »
A lire aussi : Starvac, l’expertise corps et visage
